Critique : WHITE BIRD
**** Quatre ans après le délirant Kaboom, Gregg Araki semble s’adoucir. Enfin seulement en apparence. Avec White Bird, le réalisateur de 54 ans (mais qui en paraît encore 30), continue d’user de l’adolescence comme prisme pour mieux parler de ses thèmes de prédilection. À savoir le sexe, la drogue ou… Read More →